Prévu pour s’ouvrir officiellement ce 19 février, le dialogue inter-togolais en vue de la résolution de la crise née des réformes politiques s’est effectivement ouvert comme prévu à Lomé.
Et c’est en présence du président Ghanéen, Nana-Akufo Ado, qui joue la facilitation que la cérémonie a été ouverte par le premier ministre Sélom Klassou à l’hôtel du 2 février, en présence des membres de son gouvernement.
Tous les acteurs politiques ont répondu présent à cette cérémonie qui a été marquée par un bref discours du président Ghanéen qui se résume en la recherche de l’intérêt du pays à travers cette concertation.
Les anciens premiers ministres comme Edem Kodjo, Joseph Kokou Koffigoh, Me Agboyibo sans oublier l’ancien ministre Pascal Bodjona, y étaient.
Après ce cérémonial, place maintenant aux travaux proprement dits qui doivent se dérouler, rappelons-le dans « le respect de l’ordre constitutionnel et des institutions de la République ».
L’ordre du jour étant défini par le comité préparatoire, il revient désormais au dialogue de le structurer en procédant à sa hiérarchisation dans ces différents points, comme le recommande le règlement intérieur du dialogue.
