Suite aux diverses réactions suscitées par l’adoption de la nouvelle constitution le 25 mars dernier par l’Assemblée nationale, le Président de la République a décidé de prendre une position au-dessus de la mêlée en appelant à une seconde lecture de la proposition de révision constitutionnelle par l’Assemblée Nationale.
La décision du chef de l’État de soumettre la nouvelle constitution à un nouvel examen parlementaire intervient dans un contexte où l’adoption de la nouvelle constitution a engendré un débat animé au sein de l’opinion publique nationale. En effet, si certaines critiques ont émergé de la part des acteurs politiques et de la société civile, il est indéniable que la grande majorité des citoyens ont exprimé leur adhésion à cette proposition de révision qui devrait placer desormais le Togo sur la voie de la modernité et de devéloppement.
Cette initiative du Président la République témoigne hautement de sa volonté souveraine de favoriser l’unité nationale et de répondre aux préoccupations légitimes de tous les citoyens. En appelant à une seconde lecture de la révision constitutionnelle, le Président affirme sa position de garant de l’intérêt général, au-delà des intérêts partisans.
Cette démarche témoigne de la capacité et de la disponibilité du Président de la République à écouter les différentes voix de la société et à œuvrer pour un consensus national autour des enjeux constitutionnels majeurs. En mettant en avant l’unité et la cohésion nationale, il donne l’exemple d’un leadership éclairé et responsable.
Dans les jours à venir, l’Assemblée Nationale examinera attentivement cette proposition de révision constitutionnelle lors de sa seconde lecture. Ce processus démocratique permettra de prendre en compte les diverses observations et suggestions, dans le but d’enrichir et de renforcer le texte adopté initialement.
En définitive, cette décision du Président de la République illustre son engagement envers la démocratie et son souci constant de placer l’intérêt supérieur de la nation au cœur de ses actions. En favorisant le dialogue et le consensus, il contribue à consolider les fondements de notre système politique et à répondre aux attentes légitimes de la population